Il m'est agréable de renouer avec la sympathique tradition qui consiste, pour le juge, à dédier un problème inédit à tous ceux qui ont oeuvré, de près ou de loin, à cette manifestation d'amitié (Roméo Bédoni).
L’échec du jeu apparent est pourvu :
1...(4,5)ç8+ 2.SPxç8=(4,7) ç5 3.SPg8=(1,7)#
1.SPg8=(0,7)?
1...(4,5)ç8+ 2.SPxç8=(5,7)# changé
1… ç5!
1.SPg8=(3,4)! [2.(3,4)ç5 [3.SPg8=(0,7) (4,5)ç8+ 4.SPxç8=(5,7)#]
2...Rg1 3.SPg8=(1,7) (4,5)ç8+ 4.SPxç8=(4,7)#
2...(4,5)ç8+ 3.SPxç8=(5,7)+Rg1 4.SPg8=(0,7)#]
1...Rg1 2.(3,4)ç5 Rh1 3.SPg8=(0,7) (4,5)ç8+ 4.SPxç8=(5,7)#
2...(4,5)ç8+ 3.SPxç8=(4,7)+Rh1 4.SPg8=(1,7)#
1...(4,5)ç8+ 2.SPxç8=(4,7) ç5 3.(3,4)d4+ éxd4, çxd4 4.SPg8=(1,7)#
On demande des aidés complets (h#2 ou h=2), c'est-à-dire présentant au moins un jeu apparent, un essai noir (échouant faute de coup neutre blanc), un essai blanc (échouant faute de coup neutre noir) et une ou plusieurs solutions. Les coups de l'essai blanc et du jeu apparent doivent être différents.
On demande des problèmes en Echecs Annéciens, lesquels imposent à chaque camp des doubles mouvements par une même pièce (qui ne compte que pour un coup), à condition que la position soit modifiée. Les coups simples sont interdits. L'échec au Roi est supprimé : le mat est remplacé par la prise du Roi adverse. Le choix de l'énoncé est laissé libre (direct, inverse, aidé, série, ...) mais l'échiquier et les pièces doivent être orthodoxes, et les autres conditions féeriques ne sont pas autorisées.
Jugement de la deuxième section
3° section : Pions Bondisseurs
On demande des problèmes mettant en scène des Pions Bondisseurs, lesquels se promeuvent uniquement (et au choix) en un
Bondisseur dont les coordonnées ne peuvent être nulles simultanément, ni dépasser 7. Sont admis tous les autres genres et pièces féeriques,.
