a) 1.Fç1 Ta3 2.Té7 Ta6 3.c×ç6+ F×ç6 4.Té4+ F×é4#

b) 1.Ta7 Fa4 2.Ff4 Fç2 3.c×d3+ T×d3 4.Fd6+ T×d6#

Déjà, au premier coup d’oeil, je fus séduit par cette oeuvre. Plus je regardais ce problème, plus j’étais convaincu d’avoir le vainqueur devant moi. Si vous scrutez l’oeuvre en détail, vous verrez une solution orthogonale aussi bien que diagonale caractérisée par un fort processus analogue. Au début est créée une batterie noire Pion-Tour (resp. Pion-Fou) qui sera transformée en batterie Fou-Tour (resp.Tour-Fou) par la capture de la pièce-avant de la batterie. Au dernier échec par la Tour blanche (resp. Fou blanc), il ne peut être répondu que par le feu de la batterie noire juste créée qui mène à un mat par échec double incluant un mat modèle. De nombreuses ouvertures de lignes enrichissent le jeu et donnent au problème une touche spéciale. Aussi intéressant est le fait que la Tour blanche (resp. le Fou blanc) fait d’abord une embuscade puis est remise en jeu par une ouverture de ligne. Additionnellement, un échange fonctionnel de la TN/FN et TB/FB peut être vu. Le problème gagne par sa position assez économique et un jeu actif des pièces noires et blanches. Pour moi, le clair vainqueur de ce tournoi. (Juge : Rolf Kohring)

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